Aujourd’hui c’est la journée des roses équitables, l’occasion d’offrir une rose virtuelle et de faire un geste solidaire, malgré l’annulation de la traditionnelle vente de roses, en raison de la pandémie du coronavirus Covid-19.
Cette année, pour la première fois en dix-sept ans d’existence, la traditionnelle « Journée des roses équitables » n’aura pas lieu.
En effet, la vente de roses proposée dans le cadre de la Campagne œcuménique d’Action de Carême, Pain pour le prochain et Être Partenaires a dû être annulée, dans le respect des mesures pour contenir la propagation du coronavirus.
Des centaines de bénévoles auraient dû vendre des roses portant le label Max Havelaar pour les deux organisations de développement Action de Carême et Pain pour le prochain. Les recettes de la « Journée des roses équitables pour le droit à l’alimentation » auraient été entièrement consacrées à leurs projets dans les pays du Sud.
Afin d’éviter qu’elles soient gaspillées, Pain pour le prochain et Action de Carême ont donc décidé d’offrir une partie des roses déjà commandées aux hôpitaux, aux maisons de retraite et aux EMS. Cette action alternative vise à remercier le personnel soignant pour son engagement dans cette situation de crise, explique un communiqué de la Campagne œcuménique.
Il est toutefois possible de participer à la campagne et de faire un geste de solidarité de manière virtuelle. Ainsi, avec l’application « Give a Rose », vous pouvez offrir des roses virtuelles et les accompagner d’un message personnel.
C’est une belle façon de propager de la joie de recevoir une fleur, tout au long de l’année.
Il suffit de télécharger l’application « Give a rose » . Vous pourrez dès lors faire cadeau d’une rose virtuelle à vos proches. Cela vous permettra également de soutenir les projets d’aide au développement de Pain pour le prochain et d’Action de Carême. Une rose coûte CHF 3.- et un bouquet CHF 25.
Depuis 1969, Pain pour le prochain et Action de Carême organisent chaque année une campagne œcuménique pendant le Carême. Depuis 1994, Être partenaires y participe également.