LES CATHOLIQUES, LA GUERRE ET LA PAIX À L’ÉPOQUE CONTEMPORAINE

ENSEIGNEMENT DE THÉOLOGIE CATHOLIQUE SEMESTRE DE PRINTEMPS 2024

Les catholiques, la guerre et la paix à l’époque contemporaine
Par la professeure Maria Paiano
Historienne du christianisme, Université de Florence (I)

COURS-SÉMINAIRE – TOUT PUBLIC

SEMESTRE DE PRINTEMPS 2024 (19.02 – 31.05.2024)

Lundi 16h15-18h00 Uni Bastion  ⎸Aile Jura 1 

CONFÉRENCES PUBLIQUES

Lieu : Uni Dufour ⎸U259 ⎸18h30

Lundi 11 mars 2024 : La « guerre juste » dans la culture catholique entre la Révolution française et le Concile Vatican II.

Lundi 8 avril 2024 : Prier pour la victoire, prier pour la paix. Les catholiques dans les guerres pour la nation

Lundi 22 avril 2024 : Le magistère pontifical face aux guerres contemporaines.

Lundi 6 mai 2024: Les catholiques et le pacifisme

L’évolution récente de la politique internationale a ramené le sujet de la guerre, ainsi que la relation entre la religion et la guerre, à l’attention du grand public. Le cours vise à encadrer historiquement les positions prises à l’époque contemporaine sur la guerre et la paix par divers acteurs (institutionnels et non institutionnels) d’appartenance catholique. Dans une perspective d’histoire culturelle, les éléments de continuité et de changement de ces positions par rapport au passé seront repérés. Après une introduction présentant notamment les catégories de « guerre juste », de « guerre sainte » et de ‘croisade’ entre l’Antiquité et le Moyen Âge, des études de cas permettront d’examiner ‘ au prisme du concept de nation ‘ les positions adoptées par les catholiques à l’égard de différents types de guerres qui ont particulièrement marqué les deux derniers siècles.

Un partenariat entre la Faculté de théologie et l’ECR

Ces cours et ces conférences sont proposés dans cadre d’un partenariat entre la Faculté de théologie de l’Université de Genève et l’Eglise catholique romaine à Genève pour un enseignement de théologie catholique. Ce partenariat existe depuis 2016, grâce au soutien de généreux donateurs. Qu’ils soient ici remerciés.

Plus d’informations sur la page du site de la Faculté